Bangui,le 27 Septembre 2022
Il y’a des années où la République Centrafricaine est secouée par l’insécurité politico-militaire,autrement dit dépuis 1995 lors des multiples multineries qui empêchaient le défunt président centrafricain Ange Félix PATASSÉ de mettre son projet d’exploitation de pétrole,fer et uranium centrafricains.
Le défunt president centrafricain Anges Félix PATASSÉ était un patriote,un révolutionnaire,celui qui a voulait tout faire pour améliorer les conditions de vies du peuple centrafricain en mettant en valeur les ressources naturelles et minières de la République Centrafricaine.
Mais, malheureusement pour ce dernier,il a été trahi par les hommes politiques centrafricains qui se disent démocratiques.Ce dernier n’a pas connu la paix dès son prémier mandat,car son premier mandat était secoué par les multiples multineries et ensuite coups d’États manqués dans son deuxième mandat dont ce dernier était obligé de faire venir les militaires libyens pour assurer la sécurité du peuple centrafricain dans l’accord du CEN-SAD , puisqu’à l’époque les militaires centraficains étaient corrompu ou manipulé par les hommes politiques centrafricains qui recevaient des ordres de certaines puissances étrangères.
Certains hommes politiques centrafricains ont soutenu la rébellion de François BOZIZÉ connu sous le nom de”libérateurs”,en manipulant la population centrafricaine à le bruit de casserole pour exiger le départ du défunt président centrafricain Ange Félix PATASSÉ et des troupes Libyennes. D’autres opposants politiques centrafricains ont même fait des déclarations sur une radio Internationale française pour soutenir la rébellion de François BOZIZÉ. En mars 2003,le défunt président centrafricain Ange Félix PATASSÉ a été chassé du pouvoir par la rébellion de François BOZIZÉ et certains hommes politiques centrafricains ont été nommés comme premier ministre et d’autres président de la Cour National de Transition (CNT) en guise de récompense à leur soutien indéfectible à la rébellion de François BOZIZÉ.
En 2011,une rébellion connue sous le nom de la coalition seleka a vu le jour
au nord de la République Centrafricaine,et cette rebellion a été dirigé par le diplomate centrfricain,Michel DJOTODIA contre le régime du président centrafricain François BOZIZÉ tout en lui demandant de quitter le pouvoir et aussi de faire partir les troupes Sud-Africaines qui assuraient sa sécurité dans un accord bilatéral entre la République Centrafricaine et l’Afrique du Sud.Cette rebellion de la coalition seleka commençait lorsque le président centrafricain de l’époque François BOZIZÉ voudrait mettre en valeur les ressources naturelles et minières de la République Centrafricaine comme le pétrole, l’uranium,ciment et fer afin de permettre l’amélioration de niveau de vie du peuple centrafricain.
Les hommes politiques centrafricains ont encore soutenu cette rébellion tout en soutenant les revendications de cette rébellion qui détruisait tout sur leur passage ( destruction des écoles,des bâtiments administratifs ,les hôpitaux etc…).Les mêmes scénario se répétait encore puisque certains hommes politiques centrafricains ont fait des déclarations sur la radio France Internationale (RFI) en demandant le départ des troupes Sud-Africaines,la dissolution du gouvernement Centrafricain afin de faire un nouveau gouvernement d’union nationale. Mais ce n’était qu’une farce,ce n’est qu’un jeu pour espionner la capacité militaire de Bangui afin de relancé une attaque coordonnée pour renverser le régime du président François BOZIZÉ en Mars 2023.
Une fois que le coup d’État de la rébellion de la coalition seleka réussissait, certains hommes politiques centrafricains ont été nommés comme premier ministre et d’autres ministre d’État en guise de récompense pour leur soutien indéfectible à la rébellion de la coalition seleka de diplomate centrfricain Michel DJOTODIA.
Aujourd’hui encore,ces hommes politiques centrafricains qui se proclament démocrates et qui veulent défendre les intérêts de la République Centrafricaine répètent les mêmes fautes de mars 2003 et mars 2013 en soutenant la rébellion de l’ancien président centrafricain François BOZIZÉ connu sous le nom de CPC( Coalition des Patriotes pour le Changement). Car,aucun opposant politique centrfricain n’avait condamné les tentatives de déstabilisation de la République Centrafricaine par un coup d’État en attaquant les positions des forces armées centrafricaines pour prendre des grandes villes en tuant les vaillants fils et filles de la République Centrafricaine qui ne veulent que défendre la République Centrafricaine contre les attaques des forces non-conventionnelles soutenues par les mercenaires étrangèrs (tchadiens, soudanais, Camerounais, Nigérien étc) qui les appuyaient.
Ces hommes politiques centrafricains soutenait les revendications de la rébellion de la coalition des patriotes pour le changement (CPC) de l’ancien président centrafricain François BOZIZÉ en demandant la dissolution du gouvernement Centrafricain afin d’en faire un gouvernement d’union nationale et demandait aussi le départ des troupes des instructeurs Russes de la République Centrafricaine. Une mauvaise histoire qui ancre la pensée des opposants politiques centrafricains.
Si l’on veut être opposants politiques centrafricains dignes de ce nom,il est préférable que l’on ne soutient pas des actes qui sont contraires à la démocratie,on doit tout faire ou mener une politique constructive dans le but d’aider la République Centrafricaine et le peuple centrafricain a avoir un niveau de vie plus acceptable et non en soutenant les actions qui sont contre la démocratie.
Il est temps que les opposants politiques centrafricains qui se disent démocratiques lancent des réformes générales dans leur système ou encore stratégie politique afin de refléter ce qu’ils pensent être. Car,le peuple centrafricain n’est plus manipulable.
On se lance dans la politique pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes et non d’être en perpétuelle connivence avec les différentes rébellions pour défaire les différents régimes. Le peuple centrafricain ne respire que la paix, la sécurité la libre circulation sur tout étendu du territoire national centrafricain afin de se jouir de leur centrafricanité.
Rédigé par : SANGO TI BÉ-AFRIKA